•  Union de la Jeunesse Solidaire 

     

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    Répression à Vichy, silence des médias.. L'Union de la Jeunesse Solidaire apporte son soutient aux révoltés.  clique

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    L'Union de la Jeunesse Solidaire a été créé le 1 er Novembre 2008 . Ce futur syndicat est basé sur la démocratie directe qui lui assure une indépendance totale. En effet, pas de président mais 5 représentents élus pour deux ans qui peuvent etre changés si 50% des adhérents le demande, des décisions prises avec l'avis tous ceux qui se sentent concernés et des projets qui remontent de toutes les fédérations. Elle a pour but de défendre les droits des jeunes, l'éducation et leur avenir par tous moyens restant pacifique. L'UJS est composée de jeunes d'avis divers mais qui ont en communs le désir d'un monde plus juste, ils défendent donc les intérêts du peuple avant tout intérêt économique.

     

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    -->  L'UJS défend tes droits !

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    --> L'UJS est basée sur la démocratie directe ce qui lui assure une indépendance totale !

    --> Adhérer à l'UJS est gratuit.

     

      

    L'UJS appelle au rêve général le 20 novembre !

    Rêve illimité !

    Après un mouvement lycéen massif au printemps dernier contre la casse de l'éducation, nous constatons que les conditions d'étude se dégradent très rapidement. Les classes connaissent cette année une surcharge insupportable, 35..40 par classe, manque de professeurs à la rentrée, baisse des moyens..

    Malheureusement, le pire est encore à venir. La suppression de 13500 postes dans l'éducation est d'ors et déjà prévue à la rentrée 2009-2010, s'y ajoute la réforme du lycée qui ne répond en rien aux attentes des lycéens. Il n'y aurait plus d'argent pour l'éducation alors que des milliards et des milliards sont injectés dans les banques pour relancer la croissance et réparer les défaillances d'un système destructeur de vie.

    Nous dénonçons la politique éducative du gouvernement qui condamne les générations futures à un échec croissant, des conditions d'étude inacceptables, une éducation bradée pour les intérêts de quelques uns, jeunesse sacrifiée pour la folie d'un système.

    Nous appelons l'ensemble des lycéens, étudiants, citoyens à se mettre en lutte le 20 novembre. Luttons pour défendre nos droits, notre éducation, notre avenir et l'avenir des autres. Abolissons le capitalisme fou, celui qui donne à quelques-uns le pouvoir de décider de l'avenir de plusieurs milliards d'Hommes, tous ensemble nous le pouvons !

    Puisque dans grève, dans révolte, dans révolution il y a rêve, nous appelons au rêve illimité dès le 20 novembre !

    TOUS ENSEMBLE, TOUS SOLIDAIRES !

    Union de la Jeunesse Solidaire

     

     



  • 8 organisations syndicales appellent les enseignants de collèges et lycées a participer à la grèves et aux manifestations le JEUDI 20 NOVEMBRE 2008.

    ************************************************************
    Après les syndicats des écoles maternelles et élémentaires, huit organisations syndicales des enseignants des collèges et lycées ont appelé à leur tour, vendredi, à une journée nationale de grève le 20 novembre contre la politique éducative du gouvernement.
    Ce mouvement aura lieu alors que 21 organisations du secteur éducatif, parmi lesquelles toutes les fédérations d'enseignants, appellent une semaine d'action dans toute l'Education nationale entre le 17 et le 21 novembre avec un "temps fort de mobilisation", le 20 novembre.

    "Alors que la rentrée 2008 s'est déroulée dans des conditions matérielles très difficiles pour l'ensemble des établissements du second degré, le projet de budget 2009 ne peut que renforcer l'inquiétude des personnels", écrivent les huit syndicats, parmi lesquels la FSU, le SE-UNSA ou encore la CGT dans un communiqué commun diffusé vendredi. Le SGEN-CFDT appelle également à cesser le travail ce jour-là.

    "Les collèges, pourtant en augmentation démographique, subiront les plus fortes suppressions d'emplois. Les lycées et les lycées professionnels ne seront pas épargnés. De surcroît, les diminutions programmées du nombre de places aux concours de recrutement et des moyens de remplacement annoncent un recours massif à la précarité", poursuit le communiqué.

    "Alors que le Parlement délibère sur la loi de Finances 2009", les syndicats "dénoncent des perspectives budgétaires qui vont nuire gravement et durablement aux élèves et aux enseignants. Le gouvernement entend mener une politique pilotée et contrainte par un budget en régression et une logique de réduction de l'offre de formation, en particulier dans la voie professionnelle".

    La suppression de 13.500 postes est prévue au budget 2009 de l'Education, après 11.200 suppressions en 2008.

    Les syndicats dénoncent également "des attaques répétées contre le paritarisme et le droit syndical" et "appellent à la grève dans les collèges, lycées et lycées professionnels le jeudi 20 novembre".

    Le 24 octobre dernier, les trois principaux syndicats d'enseignants du primaire (SNUIpp, SGEN-CFDT et SE-UNSA) ont été les premiers à appeler à une journée nationale de grève le 20 novembre dans les écoles maternelles et élémentaires. AP


    ===> communiqués :

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    Après les syndicats des écoles maternelles et élémentaires, huit organisations syndicales des enseignants des collèges et lycées ont appelé à leur tour, vendredi, à une journée nationale de grève le 20 novembre contre la politique éducative du gouvernement.
    Ce mouvement aura lieu alors que 21 organisations du secteur éducatif, parmi lesquelles toutes les fédérations d'enseignants, appellent une semaine d'action dans toute l'Education nationale entre le 17 et le 21 novembre avec un "temps fort de mobilisation", le 20 novembre.

    "Alors que la rentrée 2008 s'est déroulée dans des conditions matérielles très difficiles pour l'ensemble des établissements du second degré, le projet de budget 2009 ne peut que renforcer l'inquiétude des personnels", écrivent les huit syndicats, parmi lesquels la FSU, le SE-UNSA ou encore la CGT dans un communiqué commun diffusé vendredi. Le SGEN-CFDT appelle également à cesser le travail ce jour-là.

    "Les collèges, pourtant en augmentation démographique, subiront les plus fortes suppressions d'emplois. Les lycées et les lycées professionnels ne seront pas épargnés. De surcroît, les diminutions programmées du nombre de places aux concours de recrutement et des moyens de remplacement annoncent un recours massif à la précarité", poursuit le communiqué.

    "Alors que le Parlement délibère sur la loi de Finances 2009", les syndicats "dénoncent des perspectives budgétaires qui vont nuire gravement et durablement aux élèves et aux enseignants. Le gouvernement entend mener une politique pilotée et contrainte par un budget en régression et une logique de réduction de l'offre de formation, en particulier dans la voie professionnelle".

    La suppression de 13.500 postes est prévue au budget 2009 de l'Education, après 11.200 suppressions en 2008.

    Les syndicats dénoncent également "des attaques répétées contre le paritarisme et le droit syndical" et "appellent à la grève dans les collèges, lycées et lycées professionnels le jeudi 20 novembre".

    Le 24 octobre dernier, les trois principaux syndicats d'enseignants du primaire (SNUIpp, SGEN-CFDT et SE-UNSA) ont été les premiers à appeler à une journée nationale de grève le 20 novembre dans les écoles maternelles et élémentaires. AFP


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  • L'UNEF appelle à la mobilisation le 20 novembre

    AP | 06.11.2008 | 19:02

     

    L'UNEF appelle les étudiants à se mobiliser le 20 novembre contre la politique éducative du gouvernement, alors que les syndicats des écoles maternelles et élémentaires, la FSU pour les collèges et les lycées, ainsi que la CGT organisent une grève nationale ce jour-là dans l'Education.

    L'UNEF a lancé cet appel jeudi, à la suite d'assemblées générales organisées depuis mardi dans 47 universités, dont aucune n'a encore débouché sur un appel à la grève côté étudiants.

    De nouvelles assemblées générales sont prévues dans le courant de la semaine prochaine selon l'Union nationale des étudiants de France (UNEF). AP

    http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches/economie/20081106.FAP6430/lunef_appelle_a_la_mobilisation_le_20_novembre.html


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  • Vichy : la police gaze ; émeute.

     

    Publié mercredi 5 novembre 2008

     

     

    Personne n’avait trop osé se mouiller. La plupart des organisations politiques et syndicales - si ce n’est localement, à Vichy ou à Lyon, par exemple - avaient refusé d’appeler à la manifestation. Trop risqué politiquement quand on tente de créer un nouveau parti, ou quand on est en quête de légitimité. Même les "stars" annoncées se seront défilées, pas de Malek Boutih, pas de Noël Mamère.

    La presse, elle, reprenait la version officielle (Le monde et L’express, notamment) : enfin, cette bonne vieille ville de Vichy, qui n’avait rien demandé à personne, se trouverait réhabilitée par ce sympathique sommet sur l’intégration des étrangers. Parce qu’il y en a marre de ces histoires du passé, comme dirait Hortefeux.

    Les cars au départ de Lyon et Grenoble avaient été bloqués le temps de ficher les militants, voire de les photographier.

    Malgré tout, il y a 2 à 3000 personnes à 18h, devant le lycée, à Vichy.

    Le cortège s’ébranle, des chansons et des feux d’artifice fusent. Les manifestants portent pour beaucoup des masques blancs, visages figés. Une intervention au micro à la gare, comme prévu, mais ça va trop vite. Le cortège semble pressé de se rapprocher du lieu de rencontre des ministres : l’opéra - là où fut voté la fin de la IIIe république, et l’instauration du régime de Vichy, c’est de bon goût. Sauf que le parcours a changé, le cortège est censé éviter le plus possible la zone rouge. Et en effet, des grilles anti-émeutes bloquent la rue qui devait être normalement empruntée.

    D’abord quelques dizaines de personnes, derrière une banderole, puis quelques centaines, se massent devant les grilles. La banderole encaisse les coups, pendant ce temps des projectiles partent, des fumigènes, des fusées. La banderole est proche des grilles. Une corde est accrochée. Ca tire, les grilles bougent, les flics mangent, la corde rompt, les flics gazent. La police teste ses nouveaux gazs à Vichy. Superdosés : les manifestants crachent, pleurent ou dégueulent. Le cortège se reforme, déterminé à réavancer. C’est que l’hostilité est tournée vers la police, plutôt que contre les fantasmatiques casseurs "sans aucun lien avec la manifestation" dont on parle aujourd’hui. Les militants restent. La CGT crie "police partout, justice nulle part". "Jeter des pierres sur la police, ok, mais les vitrines, ça non !" "Ils sont motivés ces jeunes." "Arrêtez !, mais arrêtez !"

    Là on ne sait plus bien. Des groupes partent jusqu’à la mairie, dont les vitres sont brisées. Des banques sont cassées. Du côté des lignes de CRS, qui se sont extirpés des grilles, des voitures sont mises en travers, puis incendiées. Tout ce beau monde se retrouve à la gare. Les flics arrivent par plusieurs endroits. Les grilles de chantier sont déplacées pour les contenir.

    Ca repart vers Cusset. De nouvelles voitures incendiées, de nombreux tags, une station Total attaquée, des lacrymogènes. A l’espace Chambon le meeting continue. Les flics ont rattrapé leur retard, ils sont aux portes. Ils dissuadent à coup de flashball ceux et celles qui voudraient repartir. Ils s’approchent trop, alors ça dépave, ça démonte tout ce qu’il y a - de la cabine téléphonique au banc - pour faire une barricade. Le feu y est mis. Finalement personne n’attaquera.

    La préfecture annonce 3 policiers blessés, une trentaine d’arrestations, 5 voitures brûlées.

    Hortefeux voulait être celui qui aurait redoré le blason de Vichy, pour de futures élections locales. Redorer le blason, même à coup de CRS, de trains bloqués, de contrôles à tout va. Ce matin le journal local titre sur les violents affrontements de la veille. Il voulait faire le fier devant ses potes européens. 3 semaines après que la France a présenté ses novatrices techniques de maintien de l’ordre aux autres polices européennes, ça la fout mal : les flics étaient complètement débordés, protégeant tant bien que mal la zone rouge, lâchant du gaz dans tout Vichy.

    Aujourd’hui la presse n’en parlera quasiment pas. Que quelques centaines de personnes étaient là, à Vichy, répondant à la provocation, tentant par tous les moyens d’aller déloger les ministres. Pas que ça à faire : c’est l’élection américaine. Et puis tenons nous en à la version officielle : c’est un simple sommet sur l’intégration, Vichy est une des 20 villes françaises pouvant accueillir une conférence internationale, nous ne comprenons pas que certains soient choqués...

    En fait nous ne sommes pas outrés, nous prenons acte. Nous avons répondu dans la rue.

    Dans les médias :
    - 
    Photos

    - Vidéos

    - FR3

    http://rebellyon.info/article5598.html


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